Un air ancien et nouveau
Bonjour gentes demoiselles et demoiseaux !
Un poil comme Mr Whynot je me suis retrouvé en vadrouille ce week end non pour moi ce n'est pô Dallas mais en mieux, beaucoup mieux. Je ne suis pô allé sur Pluton non plus mais c'est en quelques sortes une autre planète quand même, un autre univers même.
Je ne sais pô si vous connaissez la vie de château (mis à part mes collègues et drus nantis bien entendu puisque nous vivons chacun dans un Castel), je pourrais le faire façon Grignette "j'ai testé pour vous" mais désolé je préfère être moi-même. Et c'est un peu ça aussi le but dans la vie la recherche de soit-même bien que certaines personnes ne se sont jamais trouvées. Bref je ne vais pô 'épiloguer la dessus, ce n'est pô vraiment mon but!
Je vous odis groindre et hucher gouge que diable dit-il ! Je vous direz juste accroissez vous !
Je reviens donc au temps du moyen-âge et des chateaux forts mais pô que. Je charge mon roncin de mon attelage se composant bien évidemment d'Hypocras, de braies ... Je regarde ma coiffe avant de partir, je mets mon doublet et mes pigaches et me voilà partit à l'aventure.
Après quelques hores de route mon reze est terminé et j'arrivâme à detination. Je prends mon téléphone mes silex et j'allume un feu pour emmetre mes signaux de fumé. Et la porte s'ouvrit, il fût monter monter et encore monter les nombreuses marches pour arriver au lieu dit.
Pô de temps à perdre, il fallait gargoter puisque le reze donne grand soif. Je ne veux pô odir de gaboise je suis grand et serrein sans non plus être falourdeur !
La nuité passe, (le jour se lève comme chaque jour dirriez vous ce à quoi je répomdrais z'vez pô tort), faut refaire le paillis pour la prochaîne.
La vie de châtal est merveilleuse, on vous apporte la repaissance au paillis, des migononneries pour se prélasser et refaire une sieste.
Le soir vous (re)festez mais malheureusement tout cycle à une fin, il fallu repartir dans le monde civilisé ou jaillisse les nouvelles technologies tout en se rendant compte à l'évidence que ça manque, mais pô la technologie !